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Alexander, ou Alexandra pour les intimes.

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Alexander, ou Alexandra pour les intimes. Empty
MessageSujet: Alexander, ou Alexandra pour les intimes. Alexander, ou Alexandra pour les intimes. EmptyLun 24 Mar - 19:59



Alexander Lewis

Alexander, ou Alexandra pour les intimes. 746214Alexander
 

Information personnage

Nom(s) :: Lewis
Prénom(s) :: Alexandra (Peu de personnes sont au courant, Alexandra n'est pas vraiment considéré comme son vrai prénom, même si c'est celui-là qui est écrit sur son certificat de naissance)
Surnom(s) :: Alexander
Âge :: 17 ans
Sexe :: Femme
Orientation sexuelle :: Lesbienne
Groupe désiré :: Fidèles
Avis sur la situation de Wonderland :: Pour tout dire, ça me fait franchement chier. Mon père qui s'est dit d'aller à la guerre alors que j'étais toute jeune, laissant ma mère et moi seule? C'est abusé. C'est de sa faute si ma mère a cet opinion-là des hommes et qu'elle me l'a transmise à moi aussi. Que ce serait-il passé s'il avait gentiment décidé de ne pas aller se fourrer dans les champs de batailles que servent désormais les rues?

Autre

Comment as-tu découvert le forum :: Topsite
Personnage de l'avatar + le manga d'où il vient :: Kido Tsubomi de Kagerou Project
Code du règlement :: Validé par Akemi

Physique
Physique - 250 mots minimum
Mon physique m’avantage grandement. Je suis grande, pas vraiment chétive. Plutôt forte, également. J’ai des formes au niveau de la poitrine et des hanches, comme toutes les filles de mon âge, que je cache avec sweat shirt et pantalons un peu amples. Ma féminité est entièrement camouflée, mais j’aimerais bien pouvoir afficher un peu plus le fait que je suis bel et bien du sexe féminin mais… c’est compliqué. Alors que j’apprécierais beaucoup le fait de porter de jolies robes, je m’acharne à cacher tout ce que je peux les aspects de mon corps et de ma personnalité qui font de moi une demoiselle.

Côté style vestimentaire, je porte souvent des vêtements un peu trop grands pour moi. Une veste à capuche que je relève sur ma tête et un pantalon de jogging, voilà ce à quoi se limite mon habillement, normalement. Pour les couleurs de ma tenue, je préfère habituellement les tons de gris, même si quelques fois j’ose les couleurs.

Mon visage, pour sa part, est plutôt masculin. Mes traits sont un peu féminins, mais pas beaucoup, pour me faciliter la vie. J’ai le teint un peu livide, mais heureusement pas d’apparence laiteuse.

Pour contraster durement avec ce teint légèrement blafard, j’ai une paire d’yeux rouges, rouge vif. Ces yeux sont de véritables fenêtres du reflet de mon âme : ils expriment très facilement mes sentiments et ressentiments, bien qu’affichant en temps normal une expression un peu lasse.

Question de me donner un style un peu à la sapin de Noël, j’ai une chevelure couleur kaki. Un peu trop longue à mon goût, d’ailleurs. Mes cheveux m’arrivent donc aux seins, mais sont cachés par la capuche de mon sweat. Encadrant mon visage, il y a malgré tout deux mèches de chaque côté de ma tête qui traînent hors de mon capuchon.

Et si nous en venions à mon corps en général, j’ai plusieurs ecchymoses et blessures. Comme n’importe quel garçon normal qui aurait mon âge, je me bats très souvent. Après, lorsque vous traînez  avec des gens de sexe opposé à longueur de journée, vous apprenez rapidement à faire et à agir comme eux. Se battre, se chamailler et s’insulter pour s’amuser! Les garçons sont de vraies brutes immatures et idiots… Sauf que ces blessures ne sont pas toutes causées par des coups qu’on m’a donnés, pendant des combats. Vous savez, l’envie de frôler la mort, de ressentir des sensations fortes, tout ça, ça entre en jeu…

Finissions donc en beauté! Si l’on me foutait à poil? Des bandages au niveau de la poitrine pour essayer de comprimer et de cacher cette paire de seins et le sexe féminin entre les deux jambes. Bien évidemment, vous ne l’auriez jamais deviné, à me regarder habillée de ces gros vêtements pour cacher la femme que je suis, pas vrai? Surprise!
Caractère
Caractère - 250 mots minimum
Eh bien, jolie demoiselle, mon caractère vous intéresse? Vous serez bien déçue, laissez-moi tout de suite évanouir vos espoirs. Je n’ai rien d’un prince charmant, aussi fort que j’essais. Je l’aimerais bien, juste pour vous voir vous pâmer, que je puisse vous rattraper avant que vous vous évanouissiez sous les vives émotions que vous procurerais tout mon romantisme, pour ensuite déposer un doux baiser sur vos lèvres douces comme les pétales de la rose, mais ce n’est pas le cas. Malheureusement pour vous, malheureusement pour moi! Et pour vous, monsieur, nous allons bien nous entendre, je n’en doute pas une seule seconde! Je sais habilement imiter la débilité et l’immaturité des demoiseaux, vous savez. Ah, vous ai-je vexé…?

Commençons par mes défauts. Héhé, la liste sera sans doute longue, mais patience! On garde le meilleur pour la fin, le dessert pour un peu plus tard.

Arrogance. J’aime bien me foutre de votre gueule, quitte à me prendre quelques droites avant de vous rendre ces dernières. Je n’aurai pas peur de vous cracher au visage que vous êtes un enculé ou un sale bâtard. Et face à l’autorité? Mon cul, le respect! Je fais ce dont j’ai envie quand j’en ai envie, peu importe le reste. Mais heureusement pour vous, ce côté arrogant ne ressortira qu’en cas d’attaque à laquelle j’en ferai un cas personnel ou que vous êtes l’autorité et que vous tentez brimer ma liberté. En temps normal, je peux être gentille.

Recherche des sensations fortes. Cela ne pourrait peut-être pas vous paraître comme un défaut, mais dans mon cas, ce l’est. Sans donner de détails, je vous dis simplement que ces façons de rechercher les sensations fortes ne sont peut-être pas les meilleures pour mon corps et ma santé.

Naïve et s’attache trop facilement. Et ça, ça me nuit énormément. Du genre à adorer le moindre type ou la moindre meuf qui se pointe comme un ou une alliée, il m’arrive d’en souffrir comme un pauvre chien. À en pleurer, même. Me manipuler est chose extrêmement facile : un sourire, un bonjour, me dire qu’on me trouve facile. Voilà, je pourrais vous rapporter la Terre, rien que pour cela! À mon coup, on pourrait placer une jolie pancarte écrite «Esclave de service! Prix : un peu de gentillesse». Et puis c’est la même si vous m’avez fait souffert, malheureusement. Quelques excuses et je ferai comme si de rien n’était, je garderai tout enfermé en moi, sans vous faire chier avec ces choses que je ressens que vous négligez peut-être. Vous savez, ce truc bien chiant qui nous fait pleurer ou qui nous fait hurler de joie? Oui, je parle des émotions.

Émotive. Oui, continuons sur les sentiments. J’ai une certaine fragilité d’âme que je tente bien que mal de cacher. J’ai l’impression de souffrir deux fois plus que les gens normaux pour des choses minuscules, voire même débiles! C’est fou, non?

Passons aux caractéristiques de ma façon de pensée.

Les hommes, par exemple. Par la faute de ma mère, j’ai la même idée qu’elle dans le crâne. Le sexe masculin, ce sont tous des enfoirés qui méritent la mort, même si ce n’est certainement pas moi qui la leur donnera.

Et puis il y a aussi ce travestissement à la con que je fais. Pourquoi? Pourquoi, vous dîtes-vous? Une meuf qui n’aime pas les mecs et qui se déguise comme ceux-ci, ce n’est pas logique, me diriez-vous. Je vous l’accorde. Mais sachez que les filles, elles aiment les garçons. Et moi, c’est les filles que j’aime. Vous comprenez, maintenant? On ne peut pas être une princesse qui charme les demoiselles. C’est impossible. Alors autant mieux devenir un garçon, pour ensuite tenter d’accéder à l’idéal que toutes les jeunes femmes se donnent du prince charmant, sur son cheval blanc, venu à leur rescousse. C’est ça, je veux devenir ce beau prince qui choisira son élue! Mon élue à laquelle je me dévouerai corps et âme. C’est beau de rêver.

Et ce que vous attendiez le plus! Ou pas. Les qualités, maintenant.

Fidélité sans limites. Il en a été question un peu plus haut, je n’arrive pas à me détacher des gens que j’aime, même si ceux-ci m’ont affreusement blessée. Oui oui, faisons comme si c’était une qualité. Cela veut donc dire que jamais l’idée de blesser un ou une amie ne me passerait par la tête, encore moins la trahison.

Gentillesse et générosité. Bien sûr que je suis arrogante, mais je suis le plus souvent gentille, si vous ne faites pas trop chier. J’aime sourire. J’aime sourire à vous, surtout, si vous me montrez aussi un sourire. Et pour la générosité, j’ai un peu de mal à voir les autres souffrir, hormis lorsque ce sont des hommes avec qui je me bats. Je serais prête à donner tout le contenu de mon porte-monnaie à un sans-abris, par exemple.

Voyez, mademoiselle. Ma personnalité ne correspondra jamais à l'homme idéal. Excusez-m’en…

Histoire
Histoire - 300 mots minimum
Il était une fois, une jeune fille. Celle-ci vivait dans une famille bien aimante, un père et une mère, ainsi qu’un grand frère. Ils étaient heureux, tout allait bien.

Eh oui, vous l’aurez deviné, c’est de moi que je parle, là.

Mais un jour, mon père décida de partir pour l’armée. Pour l’Unité Spéciale, pour faire bref. Pourquoi? Quelles étaient ses raisons? Peut-être qu’il en avait simplement marre, de devoir nous endurer ou simplement qu’il avait envie que ce problème de rébellion se règle! Les raisons restent encore obscures aujourd’hui… Moi et ma mère, nous nous retrouvâmes donc seules avec mon frère. Nous eûmes tout de suite besoin de plus d’argent pour vivre, l’ancien salaire de mon père étant un peu plus élevé que les payes que recevaient les fantassins de l’Unité Spéciale. Nous déménageâmes donc alors que j’avais l’âge de dix ans dans les quartiers pauvres, nous qui avions déjà une assez petite maison.

Le seul problème, c’est que cela venait aussi avec le changement d’école. Changement d’école disait changement d’amis. J’avais toujours du mal à m’intégrer au groupe. Simplement à cause du fait que je me sentais si différente des autres, comme si quelque chose clochait chez moi. Et ça, je n’arrivais pas à l’accepter. Encore moins à mettre le doigt sur ce qui clochait chez moi. Je m’isolais donc, ne me sentant pas mêlée aux autres…

Ce fut au tour de mon frère ensuite, de partir à la guerre! Dès lors, l’opinion de ma mère sur la gente masculine avait changé d’un coup. Tous des lâches, tous des connards qui se fichent de leur famille. À force de l’entendre répéter toutes ces conneries, j’en suis moi-même venue à penser ces débilités. En même temps, j’avais douze ans quand elle répétait ça. Pas assez de jugement pour décider si c’était la vérité ou non!

Et vers mes 14 ans ou mes 15 ans, je rencontrai une jeune fille de mon âge. Elle était gentille, elle était venue me chercher alors que j’étais seule, dans mon coin. Nous sommes devenues amies. Et là, j’avais trouvé ce qui clochait chez moi. Un an après, je tombai amoureuse d’elle. Follement amoureuse d’elle. Cette fille qui m’avait tendu une corde pour m’aider à remonter la pente, surmonter la solitude. Je lui avoua, d’ailleurs. À mon plus grand bonheur, j’eus droit à un merveilleux « Oui, moi aussi je t’aime ». Ce fut le bonheur total pendant deux minuscules semaines. Après ces deux semaines? Une querelle survint, et elle me cria dessus que je lui donnais mal au coeur, que les filles n’étaient pas faites pour être ensemble, qu’elle n’avait dit cela que pour ne pas « me faire mal ». J’eus le coeur brisé, mais ce qu’elle m’avait dit, j’en pris de la graine.

Passons à une étape un peu plus amusante de ma vie, voulez-vous? Ces histoires barbantes d’amour à sens unique, c’est ennuyant.

Je décidai de changer complètement la personne que j’étais. Ainsi, Alexandra devint Alexander. Alexander commença à se faire de nouveaux amis, mais que des garçons. Que des garçons, dans le but de faire comme eux, de devenir comme eux et de penser comme eux. En bref, faire de moi un garçon. Et ce, même si je n’appréciais pas spécialement la gente masculine, vu la façon de pensée que ma mère m’avait insufflée!

Mais au final, ça me plut. Ça me plut énormément de jouer un rôle, faire un peu comme une actrice, chercher la merde, me battre, faire comme le sexe opposé. Même si je devais abandonner ma féminité, pourquoi pas? J’arrivais à m’intégrer beaucoup plus facilement chez les garçons que chez les filles. Ce n’était pas du tout question de goûts d’ailleurs, simplement que j’étais plus à l’aise, j’imagine. Au plus grand désespoir de ma mère, pour tout vous dire. Elle m’aurait bien baffée, rien que pour ça!

Et puis maintenant, voilà, considérons-moi comme un garçon. Alexandra n’existe plus, vous voilà devant Alexander! Un garçon un peu idiot qui aime bien se battre, mais qui est tout de même très gentil.

© FICHE CRÉÉE PAR REIRA DE LIBRE GRAPH'
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MessageSujet: Re: Alexander, ou Alexandra pour les intimes. Alexander, ou Alexandra pour les intimes. EmptyMar 25 Mar - 8:03

Bonjour et bienvenue!
Tout est bon. Bon RP~
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